Jornal de Distúrbios do Sono: Tratamento e Cuidados

Hypertension artérielle résistante et durée du sommeil chez les personnes noires atteintes du syndrome métabolique MetSO

April Rogers, Olivia Necola, Azizi Sexias, Alla Luka, Valerie Newsome, Stephen Williams, Samy I McFarlane et Girardin Jean-Louis

Introduction : L'hypertension artérielle résistante (HTAR) est une pathologie importante qui touche 29 % de la population hypertendue. Les troubles du sommeil sont de plus en plus reconnus comme des troubles sous-jacents chez les patients atteints d'HTAR. Nous avons évalué les associations entre l'HTAR et la courte durée du sommeil chez les personnes noires atteintes du syndrome métabolique (SM), une population vulnérable caractérisée par une prévalence élevée d'HTAR.

Méthodes : Données issues de la Metabolic Syndrome Outcome Study (MetSO), une étude de cohorte financée par le NIH caractérisant le syndrome métabolique (MetS) chez les Noirs. Le MetS a été défini selon les critères de l'Adult Treatment Panel (ATP III). Selon l'American Heart Association, le RHTN est défini comme une pression artérielle qui reste supérieure à l'objectif malgré l'utilisation de 3 médicaments antihypertenseurs de classes différentes, l'un des trois agents pharmaceutiques prescrits doit être un diurétique et tous les agents doivent être prescrits à des doses optimales.[1] Le sommeil court a été défini comme des durées de sommeil autodéclarées < 7 heures, référencées à un sommeil sain (7-8 heures).

Résultats : L'analyse a porté sur 1 035 patients (âge moyen : 62±14 ans ; femmes : 69,2 %), fournissant des données complètes. Sur l'échantillon, 90,4 % étaient en surpoids/obèses ; 61,4 % souffraient de diabète ; 74,8 % souffraient de dyslipidémie ; 30,2 % avaient des antécédents de maladie cardiaque ; et 48 % présentaient un risque d'AOS. Dans l'ensemble, 92,6 % souffraient d'hypertension (HTA) et 20,8 % répondaient aux critères de l'HTA. Les analyses ont montré que les personnes atteintes d'HTA étaient plus susceptibles d'être des petits dormeurs (26,8 % contre 14,9 %, p < 0,001). Sur la base d'une analyse de régression logistique, ajustée en fonction des effets de l'âge, du sexe et des comorbidités médicales, les patients atteints d'HTA avaient plus de chances d'être des petits dormeurs. (RC = 1,90, IC à 95 % : 1,27-2,96, p = 0,002)

Conclusion : Parmi les patients noirs atteints du syndrome métabolique, les patients répondant aux critères d'hypertension résistante présentaient une probabilité deux fois plus élevée d'être des dormeurs courts. Les probabilités ajustées de sommeil court étaient similaires à celles observées chez les patients présentant un risque d'AOS

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